Aujourd’hui nous avons du mal à imaginer notre futur, car tous les clignotants climatiques sont au rouge et conduisent plutôt à penser l’effondrement qu’à voir les opportunités de résilience.
Pourtant, la biologie nous dit que c’est principalement en période difficile que le vivant coopère et c’est lors de phases d’abondance que la compétition est la plus fréquente. Et si nous nous inspirions du vivant pour nous réinventer ?
Christine Marsan, 15 mai 2018